vendredi 2 août 2024

A quick drawing and a little story...(6)

The English version is below the French text (text translated by Google)

Mon trou ressemblait à un garage à bite

Un jour, j'avais pris une dizaine de bites dans mon cul dans la journée, j'étais épuisé. Je m'étais juré de ralentir la fréquence de mes rendez-vous.
Je n'avais même plus le temps de me rendre dans les amphithéâtres de l'université pour suivre mes cours de médecine.
Dès six heures du matin, je démarrais la journée par mon professeur d'anatomie, c'était un de mes clients les plus assidus et aussi celui qui me payait cher pour que je réalise tous ses fantasmes vicieux.
Il aimait l'uro, le simulacre de viol, la brutalité et me sodomiser sans ménagement comme la pute que j'étais devenue...
Je prenais beaucoup de plaisir à le satisfaire et aussi les nouveautés qu'il me faisait découvrir dans le domaine de la perversité.
Les autres professeurs qui venaient me baiser étaient beaucoup plus classiques. Mes collègues étudiants n'avaient pas beaucoup d'originalité. Ils se contentaient de vider leurs couilles dans mon cul et de s'empresser de repartir une fois soulagés.
Ce soir-là pourtant, alors que je n'attendais plus personne, j'entendis frapper à ma porte.
Qui cela pouvait-il être ?
J'étais encore nu, je n'avais pas pris le temps de m'habiller après le passage de mon professeur du matin.
Je me levais pour aller ouvrir la porte. À peine ouverte, je fus repoussé en arrière par un homme très costaud aussitôt suivi par une dizaine d'autres mecs que je ne connaissais pas. J'étais tombé sur le plancher de ma chambre sous la violence du choc.
" Que me vouez-vous ?"
Le costaud me répondit : "Nous sommes la fratrie des Alpha-Omega et on vient voir la petite pute de médecine. Il paraît que tu aimes la bite !"
Sans que je ne puisse réagir, il me mit sur mon lit et sorti sa queue de son jean.
"Non, arrête, je ne suis pas en forme ce soir !"
Ma phrase n'était pas encore terminée que sa grosse bite tendue comme un arc, me pénétra violemment.
Il avait relevé mes jambes sur ses épaules et bien que je me débattais le gros porc donnait de grands coups de bite dans mon cul.
J'avais la chance d'être très dilaté par mes clients de la journée.
Je sentais son sperme se répandre dans mes entrailles très rapidement. Il ne devait plus avoir joui depuis longtemps, car il émit des râles de bestiaux en rut.
"Au suivant !", cria-t-il.
Il se retira et un autre mec avait déjà pris mes jambes dans ses bras pour m'empêcher de me débattre. Neuf mecs se relayaient chacun à leur tour.
Le dixième se présenta et me dit :" Retourne-toi, salope, mets-toi à quatre pattes !" Il avait sorti un revolver de la poche de son blouson.
Il n'avait pas une grosse bite, mais au point où j'en étais, je ne pouvais qu'obéir.
Celui-là n'était pas un éjaculateur précoce, il lima mon cul pendant de longues minutes sous l'œil vicieux des autres qui se branlaient encore en nous regardant.
Je sentais le sperme dégouliner sur mes couilles et sur mes cuisses quand enfin, il jouit aussi...
Je m'écroulais sur mon lit, épuisé par tout ces assauts de la journée.
Après quelques minutes, je relevais la tête, la chambre était vide, ils avaient disparu.
Je pensais avoir fait un cauchemar, tout était si calme et silencieux...
Seul mon entre-jambe dégoulinant de sperme me confirmait que j'avais été violé par ces mecs.
Trop épuisé, je n'avais plus le courage de me lever pour me laver...
Je tombais dans un profond sommeil...J'étais devenu le garage à bite de l'université...

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           My hole looked like a dick garage

     One day, I had taken about ten cocks in my ass during the day, I was exhausted. I had sworn to myself to slow down the frequency of my appointments.
I didn't even have time to go to the university lecture halls to take my medical classes.
From six in the morning, I started the day with my anatomy professor, he was one of my most assiduous clients and also the one who paid me a lot to make all his vicious fantasies come true.
He liked uro, simulated rape, brutality and sodomizing me without restraint like the whore I had become...
I took great pleasure in satisfying him and also the new things he made me discover in the field of perversity.
The other professors who came to fuck me were much more classic. My fellow students didn't have much originality. They were content to empty their balls in my ass and hurry to leave once relieved.
That evening however, when I was no longer expecting anyone, I heard a knock at my door.
Who could it be?
I was still naked, I hadn't taken the time to get dressed after my morning teacher had come.
I got up to go and open the door. As soon as I opened it, I was pushed back by a very strong man immediately followed by a dozen other guys I didn't know. I had fallen to the floor of my room under the violence of the shock.
"What do you want me to do?"
The strong guy answered me: "We are the Alpha-Omega brothers and we come to see the little medicine whore. I hear you like cock!"
Without me being able to react, he put me on my bed and took his cock out of his jeans.
"No, stop it, I'm not in shape tonight!"
My sentence was not yet finished when his big cock, stretched like a bow, penetrated me violently.
He had lifted my legs on his shoulders and although I was struggling, the big pig was giving big thrusts of his cock in my ass.
I was lucky to be very dilated by my clients of the day.
I felt his sperm spreading in my entrails very quickly. He must not have cum for a long time, because he emitted moans of beasts in heat.
"Next!", he shouted.
He withdrew and another guy had already taken my legs in his arms to stop me from struggling. Nine guys took turns each in turn.
The tenth came forward and said to me: "Turn around, bitch, get on all fours!" He had taken a revolver out of his jacket pocket.
He did not have a big cock, but at the point I was at, I could only obey.
This one wasn't a premature ejaculator, he licked my ass for long minutes under the vicious eye of the others who were still jerking off while watching us.
I felt the sperm dripping on my balls and on my thighs when finally, he came too...
I collapsed on my bed, exhausted by all these assaults of the day.
After a few minutes, I raised my head, the room was empty, they had disappeared.
I thought I had a nightmare, everything was so calm and silent...
Only my crotch dripping with sperm confirmed to me that I had been raped by these guys.
Too exhausted, I no longer had the courage to get up to wash myself... 
I fell into a deep sleep...I had become the university's cock garage...













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One of my drawings...

 Foreskin