The English translation is after the French text
La bite de mon père !!!
Je suis le fils unique d’une famille bourgeoise et puritaine. À la maison, il est inutile de parler de sexe ou de sujets scabreux. Je n’ai jamais compris comment mes parents avaient réussi à me concevoir. J’avais quitté la maison pour entrer à l’université. J’étais dans ma deuxième année de médecine. J’avoue que les futurs médecins n’ont pas beaucoup de complexes et des hommes nus, j’en ai vu beaucoup depuis deux ans. Que ce soit dans les douches ou les vestiaires de sport, des bites, j’en ai vu des centaines. Je dois dire que sans être passé à l’acte, les garçons m’attiraient de plus en plus. Je sais qu’à 21 ans, être toujours puceau, c’est rarissime. Mais avec une famille comme la mienne, c’est presque obligé. J’avais vu la première bite qui n’était pas la mienne quand j’étais au lycée à 16 ans ! Je me branlais souvent en pensant à ce que je ferai avec mon premier homme.
J’étais revenu de l’université pour les vacances de Noël. Je passais la majeure partie de me journées dans ma chambre, je me branlais en regardant des revues avec des hommes musclés et très dévêtus. Je pense que si ma mère les avait découvertes, j’aurais été chassé de la maison ! Un jour, je jouais depuis plusieurs heures sur ma console de jeu quand j’eus une envie urgente d’aller vider ma vessie. Je me précipitais vers la salle de bain. La porte était fermée de l’intérieur. Je frappais à la porte : « Je dois pisser, c’est urgent ! »
Par chance, c’est mon père qui déverrouilla la porte.
« Je peux entrer ? » demandais-je malgré l’urgence de la situation, je sentis mon urine qui se dirigeait déjà vers le bout de ma queue.
« «Entre ! » me dit la voix virile de mon père.
Sans attendre, je me précipitais vers la cuvette et laissais couler ma miction. Je jetais un œil vers mon père, il se rasait complètement nu.
Je savais qu’il était très poilu pour l’avoir vu en vacances et en slip de bain, mais là, je pouvais voir son énorme bite traîner sur le marbre du lavabo. Il ne bandait pas, mais sa bite alanguie et flasque mesurait au moins 20 centimètres. Ses couilles rondes et pesantes butaient contre l’armoire à chacun de ses coups de rasoir. « Désolé, ton envie de pisser semblait tellement urgente que je n’ai pas pris la peine de cacher ma nudité avec une serviette de bain. »
« Ce n’est rien papa, tu sais des sexes çà l’université, j’en vois beaucoup dans les douches communes et après tout, je vais devenir médecin… » Je sentais mes joues rougir et cette vessie qui n’arrêtait pas de se vider.
« Je vois que c’était vraiment urgent », me dit mon père.
Je sentais ma queue durcir… Les dernières gouttes se retrouveraient dans mon boxer, je ne voulais pas montrer mon érection à mon père. Je sortis de la salle de bain et je repris mon joystick pour continuer ma partie, mais le manche entre mes jambes me déconcentrait. Je jetais ma télécommande sur le côté de mon lit et je commençais à m’astiquer la queue raide et beaucoup moins imposante que celle que je venais de voir.
Mon père ouvrit la porte de ma chambre et me surprit.
« Je vois que je te fais de l’effet » me dit-il.
Il était toujours nu et fraîchement rasé, son after-shave envoûtant me laissa sans voix quand je vis sa bite durcie. Mon Dieu, était-ce possible qu’elle ait doublé de volume ?
Il s’assit sur mon lit, posa sa main sur la mienne et suivit le rythme de ma masturbation. Que m’arrivait-il, mon père me branlait. Il passa son autre main sur mon cou et dirigea ma tête entre ses cuisses. Sans réfléchir, j’ouvris la bouche pour prendre son gland turgescent. En quelques secondes, il éjacula dans ma bouche et moi à grosses giclées sur le dos de sa main.
« Nous avons été un peu rapides à venir, mais ce soir, nous prendrons plus de temps… »
Je devins l’amant de mon père durant toutes les vacances de Noël dès que nous pouvions nous isoler de ma mère… La nuit de Noël, il me fit le plus beau des cadeaux, il vint me retrouver dans mon lit et me baisa… J’avoue que le 25 décembre, j’eus quelques peines pour m’asseoir, mais je ne serais plus vierge pour retourner à l’université. Et si mes potes me demandent comment se sont passées mes vacances, je leur répondrai par un seul mot : « Merveilleuses »
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My father's cock!!!
I am the only son of a bourgeois and puritanical family. At home, it is useless to talk about sex or scabrous subjects. I never understood how my parents had managed to conceive me. I had left home to enter university. I was in my second year of medicine. I admit that future doctors do not have many complexes and naked men, I have seen a lot of them over the past two years. Whether in the showers or the sports locker rooms, I have seen hundreds of cocks. I must say that without having acted on them, boys attracted me more and more. I know that at 21, still being a virgin is very rare. But with a family like mine, it is almost obligatory. I had seen the first cock that was not mine when I was in high school at 16! I often jerked off thinking about what I would do with my first man.
I had come back from university for the Christmas holidays. I spent most of my days in my room, jerking off while watching magazines with muscular and very naked men. I think that if my mother had discovered them, I would have been kicked out of the house! One day, I had been playing for several hours on my game console when I had an urgent need to empty my bladder. I rushed to the bathroom. The door was locked from the inside. I knocked on the door: "I have to pee, it's urgent!"
Luckily, it was my father who unlocked the door.
"Can I come in?" I asked despite the urgency of the situation, I felt my urine already heading towards the tip of my cock.
"Come in!" said my father's virile voice.
Without waiting, I rushed to the toilet and let my urine flow. I glanced at my father, he was shaving completely naked.
I knew he was very hairy from having seen him on vacation and in swimming trunks, but there, I could see his enormous cock dragging on the marble of the sink. He wasn't hard, but his languid and flaccid cock measured at least 20 centimeters. His round and heavy balls bumped against the cabinet with each of his razor strokes. "Sorry, your need to pee seemed so urgent that I didn't bother to cover my nudity with a bath towel."
"It's nothing dad, you know, there are a lot of penises at university, I see them in the communal showers and after all, I'm going to be a doctor..." I felt my cheeks redden and this bladder that kept emptying.
"I see that it was really urgent," my father told me.
I felt my cock hardening… The last drops would end up in my boxers, I didn’t want to show my erection to my father. I left the bathroom and picked up my joystick again to continue my game, but the handle between my legs distracted me. I threw my remote control to the side of my bed and started to jerk off my stiff cock, much less imposing than the one I had just seen.
My father opened the door to my room and surprised me.
“I see I’m having an effect on you,” he told me.
He was still naked and freshly shaved, his captivating aftershave left me speechless when I saw his hard cock. My God, was it possible that it had doubled in size?
He sat on my bed, put his hand on mine and followed the rhythm of my masturbation. What was happening to me, my father was jerking me off. He ran his other hand over my neck and directed my head between his thighs. Without thinking, I opened my mouth to take his turgid glans. In a few seconds, he ejaculated in my mouth and me in big spurts on the back of his hand.
"We were a little quick to come, but tonight, we'll take more time..."
I became my father's lover during all the Christmas holidays as soon as we could isolate ourselves from my mother... On Christmas Eve, he gave me the most beautiful gift, he came to find me in my bed and fucked me... I admit that on December 25, I had some trouble sitting down, but I would no longer be a virgin to return to university. And if my friends ask me how my holidays were, I will answer them with a single word: "Wonderful"
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