Le recteur de l'université
Je retournais rarement chez moi, je préférais rester dans l'enceinte de l'université. Mon père m'écrivait parfois des lettres torrides.Je suppose qu'en voyant mon trou, il remarque que celui-ci était beaucoup plus dilaté. J'avais de plus en plus d'amants et de clients, ceux que je faisais payer pour satisfaire leurs pulsions. J'avais beaucoup de professeurs qui m'assureraient ma réussite. En cas d'échecs, je les ferais sans doute chanter contre mon silence. Beaucoup étaient mariés et mes révélations risqueraient de faire chuter leur mariage et leur réputation.
Les étudiants me servaient à assouvir mes fantasmes et pour eux, c'était gratuit. Mon compte en banque croissait. À 100 ou 150 € la passe normale, c'était plus cher pour les spécialités, les plans sadomasochisme, je demandais des prix parfois doublés.
Le recteur vint un soir me rendre visite. C'était un homme d'une soixantaine d'années. Il me proposa de devenir mon client. Je ne m'étais jamais fait un mec aussi âgé, mais j'acceptais en augmentant un peu mes prix.
Le lendemain, il revint le soir. Très élégant, je le priais de se déshabiller, moi, je n'avais que mon peignoir largement ouvert sur le dos. Il pouvait voir mon matériel et cela sembla le satisfaire.
"Que veux-tu une pipe ou planter t bite dans mon cul ?", lui demandais-je.
Avant de me répondre, il se mit nu et debout devant moi.
" Je veux que tu me pisses dessus."
" Où veux-tu que je t'arrose ?"
" Dans la bouche..."
Le mec était totalement imberbe et son pubis était rasé. Il ne bandait pas et sa bite ne m'impressionnait pas, elle était même relativement petite.
Je le fis passer dans la salle de bain et lui désigna la douche.
Il s'accroupit et jeta sa tête vers l'arrière.
" Ouvre ta gueule !"
Il obéit et je commençais à l'arroser. Curieusement, cela m'excita.
Il me saisit la queue et la mit dans sa bouche pour ne rien perdre de ma miction.
Mon urine chaude entoura mon sexe et je le sentais déglutir à chaque fois que sa bouche était pleine.
C'était une première fois pour moi. Lui devait sans doute payer des prostituées pour combler son désir uro .
Une fois que j'eus terminé de pisser, il se releva et me plaqua contre le mur.
Sa bite avait sérieusement pris du volume et de la longueur.
" Je vais t'enculer, petite salope !"
" Pas comme ça, viens sur le lit, nous serons mieux."
Il relâcha son étreinte et me suivit.
Il me poussa dans le dos et je tombais sur le ventre dans le lit.
Il me prit par les hanches et je sentais sa bite atteindre mon trou.
" Vas-y doucement, je n'aime pas la violence."
Il accepta visiblement, car il se fait plus doux.
Il fut long à jouir, mais je sentais ses jets puissants de sperme inonder mes entrailles.
Quand il eut terminé son orgasme, il se releva, fouilla sa poche et jeta 200 € sur la table.
" On se revoit bientôt ?"
J'opinais de la tête en signe d'approbation.
Le recteur de l'université devint un de mes clients réguliers du soir.
Il avait d'autres fantasmes, mais je vous raconterai cela plus tard...